Elles sont fraîches mes orties ! Ils sont beaux mes pissenlits !

Salut vous !

Je fais une brève excursion hors de ma grotte pour vous parler de quelques jolis livres que j’ai eu la chance de recevoir en service de presse, pourrie gâtée que je suis (écrire pour la FNAC, ça aide vachement beaucoup en la matière).

Je me demande quand même si je ne vais pas retourner hiberner un petit mois. C’est que j’ai cru que c’était déjà l’été, moi, les orteils à l’air sur la terrasse, la semaine dernière. Et puis, hier matin, j’ai gratté le pare-brise. On m’aurait menti ?

Les orties et les pissenlits doivent être dupes eux aussi car ils pullulent dans le jardin.

Parlons-en du jardin. Passer la tondeuse, ok. Cultiver un potager et le désherber à la main, ok. Mais on est pas sur un green de golf et on peut donc laisser vivre quelques sauvageons qui sont bons pour les p’tites bêtes et dans nos assiettes (pas folle la guêpe).

Donc, si toi aussi, tu as un grand jardin un peu roots , tu vas apprécier d’avoir dans ta bibliothèque le dernier né d’Anne Brunner :

Ortie et pissenlit (La Plage)

Tout ce qu’il faut savoir sur la cueillette des orties et pissenlits (mais aussi de leurs faux-amis comestibles), leurs vertus et la façon de les préparer avant de les faire passer à la casserole. Et bien sûr, une vingtaine de recettes pour les apprécier.

C’est un livre à la fois pratique, économique (c’est la crise ma bonne dame), sain et gourmand, et les photos sont signées Lilo, ce qui ne gâche rien.

On va certainement reparler de ce livre ensemble, bientôt (Enfin, si je n’oublie pas de prendre mes plats en photos. C’est que je n’ai plus les réflexes de blogueuse miam très aiguisés. Ich bin ein katastrophe !)

D’ici là, si vous avez beaucoup de pissenlits et autant de temps à écouler, je vous conseille la gelée de pissenlit, testée et approuvée l’année dernière par la tribu herself.

Ah oui, j’avais parlé de plusieurs livres. Ben, pour la suite, tu reviens demain ? On va reprendre le blogging en douceur, faudrait pas que je me déclenche une tendinite des deux index à force de taper.

(Sinon, la guimauve qui est en moi a été toute émue de voir chez Môsieur Google Analytics que vous êtes toujours nombreux à venir voir mes petites chozes même quand je déserte impunément. Z’êtes choupis tout plein ! Merci, merci, merci :D)