Celles et ceux qui me suivent depuis longtemps savent que, depuis 4 ans, ma cuisine est équipée d’un four combiné vapeur NEFF et que j’en suis littéralement amoureuse.
Mais si vous traînez vos guêtres ici pour la première fois où si aviez loupé ce chapitre fondateur « mon four-mon amour », je vous explique.
Qu’est-ce qu’un four combiné vapeur ?
C’est un four qui combine toutes les fonctionnalités d’un four classique avec la possibilité d’ajouter de la vapeur pendant la cuisson (oui, ça vous aviez-compris tout seuls).
Pourquoi c’est bien ?
L’ajout de vapeur permet d’éviter tout dessèchement pendant la cuisson. Les viandes sont dorées mais tendres et juteuses, les gâteaux gonflés et moelleux, et les pains (c’est ce que je trouve le plus bluffant) lèvent super bien et ont une croûte fine et croustillante, à faire pâlir les baguettes du boulanger.
A côté de ça, il existe pléthore de fonctions qui vous facilitent pas mal le quotidien :
- un mode étuve pour faire pousser les pâtes levées (pain, brioches, pizza…)
- une fonction « réchauffer » qui s’adapte à la quantité à réchauffer et surtout qui ne dessèche pas, la plat réchauffé ressort du four aussi pimpant qu’après la première cuisson
- la possibilité de donner un coup de jeune au pain de la veille : la baguette ramollo et caoutchouteuse ressort crousti-moelleuse
- les programmes automatiques cuisson des viandes sont top aussi. Pour le poulet, je case le plat dans le four, programme « poulet », j’indique le poids de la petite bête et roulez petits bolides. Je ne surveille rien, ni la température, ni le temps de cuisson, le four fait ça tout seul et la viande est parfaite.
Je ne vais pas vous faire toute la fiche technique, mais l’idée générale est que j’adore ce four et qu’il n’y a pas un jour où je n’y ai recours.
Alors, imaginez ma banane le jour où j’ai reçu l’invitation de NEFF pour aller découvrir leur nouveau four combiné vapeur lors d’un atelier à Paris, avant de le recevoir pour le tester à la maison. (Hiiiiiiii !) Noël au moins d’août. Merci petit Papa NEFF 😀
On en reparle tout de suite mais avant regardez-moi ça comme il est beau ce petit Variosteam !
(C’est ma première vidéo en stop motion, soyez indulgents 😉 )
(Si vous ne voyez pas la vidéo, cliquez ici)
Les yeux experts auront remarqué qu’il y a deux fours côte-à-côte. OUI, j’ai gardé les deux ! L’homme (ce relou) voulait vendre le premier (n’importe quoi). J’ai donc dû argumenter sur les différences entre les deux fours (Ben, oui, ils ne sont pas tout à fait pareils, donc chacun est rigoureusement indispensable) (Bon, ça va, je vous vois derrière votre écran : « comme si elle avait VRAIMENT besoin de deux fours ») (Mais OUI !) (Je fais ce que veux, épicétout) (Et il y a beaucoup trop de parenthèses dans cet article).
Cessons de tergiverser et revenons au coeur du sujet, je vous prie.
What’s new avec ce nouveau four ?
La raison principale qui fait que j’ai voulu garder l’ancien est que le nouveau Variosteam n’a pas la fonction pour cuire tout à la vapeur (c’est possible mais en ajoutant un accessoire). Or j’utilise beaucoup la cuisson vapeur que ce soit pour les légumes, les poissons ou encore stériliser les bocaux de conserves.
Pour tout le reste, c’est pareil mais en mieux et avec des trucs en plus :
- le Variosteam est plus grand, il contient 67 litres et permet d’enfourner sur 4 niveaux
- il possède un gril, je ne grille pas beaucoup mais pour certaines recettes, ça me manquait un peu (dès qu’il a été installé, j’ai grillé des légumes du jardin. J’a-do-re les poivrons grillés !)
- il permet de moduler la quantité de vapeur. En fonction de vos recettes, vous pouvez choisir d’ajouter une vapeur légère, moyenne ou élevée, c’est très pratique.
- il vide tout seul le circuit d’eau. ça c’est top ! Avec mon premier combiné vapeur, je dois vider une petite coupelle au fond du four après refroidissement. J’oublie la moitié du temps et le four me rappelle à l’ordre (T’as vu comme il est intelligent ? « Bip bip ! Hého, t’as encore oublié de vider ma coupelle ! »)
- la porte est escamotable. Si ça c’est pas la classe, cette porte qui se range toute seule sous le four ! Et c’est agréable de ne pas avoir la porte dans les jambes (ma cuisine est petite, ce n’est pas toujours facile de circuler entre l’îlot et le point de cuisson).
- le dernier niveau d’enfournement est équipé de rails télescopiques qui sortent entièrement du four, et, en fait, c’est top. Tu connais le plat bien lourd, brûlant, galère à sortir du four parce que tu n’as pas de prises ? C’est fini.
- autre détail plutôt confortable, tous les niveaux d’enfournement sont éclairés. Pratique pour surveiller la cuisson de la deuxième plaque de sablés, celle qui est tout en-dessous et pour laquelle il faut généralement ouvrir le four et sortir la plaque pour voir si c’est doré. Fini aussi.
Voilà, pour mes premières impressions. Le four vient d’arriver il y a quelques jours à la maison, je commence à peine à jouer avec, je vous en reparlerai très bientôt 🙂
En attendant, pour fêter ça, je vous invite à participer au concours organisé par NEFF qui peut vous permettre de gagner un des 5 week-ends gastronomiques à Athènes, Barcelone, Dublin, Munich ou Naples ou un cours de cuisine à l’Atelier des Chefs.
Vous avez jusqu’au 6 novembre pour déposer vos recettes sur le site Coup de Foudre en Cuisine. Bonne chance !
Une petite recette pour finir.
Je vous disais que j’avais été invitée par NEFF à découvrir mon nouveau four avec la jolie bande de copines et le copain : Audrey, Anne, Manue, Joëlle, Mamina, Nathalie, Nathalie et Nathalie et Dorian (ça m’a fait plaisir de vous revoir les cocottes… et coco ^^)
Nous nous sommes tous retrouvés chez S’cuiz in pour passez un bon moment de popote/papote autour de recettes imaginées par Gwen Rassemusse.
Avec Joëlle, ma binomette pour la journée, nous nous sommes chargées des courgettes « amandines ». Honnêtement, à l’énoncé, la recette ne m’inspirait pas plus que ça, et j’avais tort car c’était délicieux !
Courgettes farcies « amandines »
Pour 16 pièces
- 8 petites courgettes rondes
- 700 g de trio de fleurettes de choux + pour la présentation finale
- 1 vert de poireau
- 80 g de truite fumée
- 160 g de lait d’amandes
- 160 g de purée d’amandes
- 8 CS d’amandes effilées
- Sel, poivre blanc
Couper les courgettes en 2 dans le sens de la hauteur (avec une découpe originale). Les évider avec une cuillère parisienne.
Saler l’intérieur et renverser pour laisser dégorger.
Éponger les choux dans du papier absorbant.
Émincer finement le vert de poireau.
Émincer la truite fumée en fines lanières. Mélanger le lait d’amande avec la purée d’amande. Saler, poivrer et ajouter les choux, le vert de poireaux et la truite.
Éponger au besoin l’intérieur des courgettes avec du papier absorbant.
Retirer une petite partie sur le sommet des demi-courgettes afin de les maintenir bien en équilibre.
Garnir de préparation aux choux et saupoudrer d’amandes effilées.
Disposer les courgettes sur une toile ou du papier de cuisson.
Faire cuire sur grille, position 1, CircoTherm® avec intensité de vapeur élevée, à 170 °C pendant environ 25 mn.
Merci à NEFF, My little less conversation et S’cuiz in pour cette journée.
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